L’hypertextualité dans tous ses états (bibliographiques)

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C’est pas pour me van­ter, mais il faut savoir que nous sommes lau­réats du grant Google pour les Digi­tal Huma­ni­ties (Huma­ni­tés numé­riques, pour vous ser­vir). Le sujet qui a rap­porté $50000 au Cléo et au LIA peut paraître rebu­tant : «  Robust and Lan­guage Inde­pendent Machine Lear­ning Approaches for Auto­ma­tic Anno­ta­tion of Biblio­gra­phi­cal Refe­rences inDH Books, Articles and Blogs »» (cf. notre annonce). En fait, c’est plu­tôt sexy rigolo inté­res­sant : nous nous sommes asso­ciés, avec Patrice Bel­lot, pour apprendre à un robot (en fait, un pro­gramme) à détec­ter les réfé­rences biblio­gra­phiques cor­rec­te­ment. L’utilité est évidente : si on par­vient à iso­ler le nom et le pré­nom de l’auteur, le titre et l’éditeur, l’année et le lieu d’édition, notam­ment, on pourra poin­ter sur la réfé­rence ori­gi­nale, soit dans un cata­logue de biblio­thèque, soit dans une librai­rie, soit, idéa­le­ment, dans un por­tail voi­sin et néan­moins ami (CairnPer­séeHAL-​SHSHypo​theses​.org ou même Revues​.org). Alors, on aura beau­coup pro­gressé dans un des enjeux de l’édition élec­tro­nique: l’interconnexion des réfé­rences entre elles. L’hypertextualité dans tous ses états.

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